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Dans les projections d’images, la peau se fait le reflet de la vie intérieure.
Le corps devenant le support de l’émotion du dedans, sensuelle, colérique ou monstrueuse.
Une histoire des deux côtés de la peau.
Dans le même esprit, le polyane, comme un nouveau derme, vient épouser les courbes
et se colle dans une représentation (littéralement) plastique de sa propre mort.
Enfin, les corps en suspension, en apesanteur, donnent une sensation amniotique dans
la transparence du polyane.
J’aime l’utilisation de matériaux sans noblesse, transformés en « beauté ».
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